Vendredi 25 septembre : FORUM 14EME HORS TAFTA Pourquoi faut-il dire NON au projet de Grand Marché Transatlantique

Vendredi 25 septembre, Mairie annexe – salle des fêtesA partir de 15 h, animations : films, exposition, table de presse/librairie————————————————————————————————–De 20 h à 22 h :Le TAFTA dans nos assiettes et des tribunaux privés au service des multinationalesMartine Billard, ancienne Députée, Secrétaire nationale à l’écologie du Parti de GaucheSécurité alimentaire, étiquetage et appellations d’origine, droits… Poursuivre la lecture Vendredi 25 septembre : FORUM 14EME HORS TAFTA Pourquoi faut-il dire NON au projet de Grand Marché Transatlantique

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Climat : pourquoi il y a urgence

((/public/2014–/.Carte_climat_m.jpg|Carte climat|C|Carte climat, sept. 2015))

Entre 1880 et 2012, __la hausse de la température a atteint 0,85°C__ en moyenne avec des disparités selon les régions du globe. Nous en voyons les conséquences tous les jours. Ainsi, alors qu’il était enregistré un peu moins de 50 événements climatiques exceptionnels par an sur la période 1970-1985, depuis 1995 on en compte environ 120 entre sécheresse, canicule, tempêtes, inondations… La trajectoire de montée des océans mène à une hausse d’1 mètre pour la fin du siècle ce qui implique par exemple pour la France, outre le recul des côtes en Charente-Maritime, Vendée et dans le Pas-de Calais, la disparition de la Camargue sous les eaux.

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En finir avec l’irresponsabilité criminelle d’Areva

!!!!Communiqué du Parti de Gauche Il aura fallu 9 ans à Areva pour avertir l’Autorité de Sûreté Nucléaire des fragilités de l’acier composant le réacteur de Flamanville. Cette pièce située au coeur du réacteur ne peut plus être remplacée une fois le réacteur en activité. Cacher cette réalité est donc totalement criminel. L’obsession pro-nucléaire ainsi… Poursuivre la lecture En finir avec l’irresponsabilité criminelle d’Areva

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Equateur : tentative de déstabilisation du gouvernement de Correa ?

Dès que le gouvernement d’un pays refuse d’appliquer les recettes internationales du libéralisme, qui en Amérique Latine comme ailleurs exige de tout privatiser et de supprimer tout ce qui pourrait être des entraves à la toute puissance de la finance, il est taxé de dictatorial, de non respect de la démocratie. Et s’il est impossible de le renverser par le scrutin électoral, alors entrent en action tous les mécanismes possibles de déstabilisation. En Équateur, Rafael Correa a été élu président de la République pour la première fois le 26 avril 2006 au second tour avec 54,86% des voix. Comme promis pendant sa campagne il a appelé à référendum pour mettre en place une assemblée constituante.

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