C’est un article intitulé [« Ne pas ouvrir la boîte de Pandore de la biologie synthétique »|http://sciencescitoyennes.org/spip.php?article1834|fr], publié en ligne par Hervé Le Crosnier sur [le site de la Fondation Sciences citoyennes|http://sciencescitoyennes.org/|fr], qui m’a fait découvrir de quoi il s’agit. J’ai de suite souhaité vous faire partager cette lecture, car les enjeux sont considérables.
((/public/Sciences_citoyennes.jpg|Sciences_citoyennes.jpg||Sciences_citoyennes.jpg, juin 2010))
La communication des laboratoires privés en pointe dans ce domaine repose sur l’annonce de recettes miracles pour répondre aux crises environnementales qui frappent notre planète. En fait, les dérives possibles et les dangers de la génétique extrême, l’implication de groupes financiers qui comptent asseoir leur pouvoir sur le contrôle du vivant, notamment à travers des brevets… Tout incite à promouvoir l’indépendance de la recherche par rapport aux intérêts privés et un contrôle démocratique de ses orientations. Le développement de mouvements tels que la Fondation Sciences citoyennes en France et l'[ETC Group|http://www.etcgroup.org/|fr] dans le monde prouve que la jonction entre chercheurs et citoyens est possible et fructueuse autour de tels objectifs. Un axe à développer pour les écologistes, simultanément très ambitieux pour la recherche, et très critiques sur l’usage des technosciences.